Voilà quelques arguments qui me viennent à l'esprit.
=> Le fondateur de l'homéopathie Samuel Hahnemann a dit dans le paragraphe 169 de
l'Organon de l'Art de guérir (Ouvrage de référence).
=> Vous donnez plusieurs remèdes et le patient va mieux. Vous ne savez pas quel
remède a été le bon. Vous me direz si le patient va mieux pas besoin de se
tracasser. Oui mais en cas de récidive : le quel des remèdes allez-vous donner?
Le mélange initiale bien sûr. Mais vous n'avez toujours pas compris votre patient
dans sa globalité et la récidive vous guette. Vous ne conduisez pas votre malade
sur le chemin de la guérison.
=> Votre patient ne va pas mieux. C'est encore plus compliqué. Vous ne pouvez pas
dire que vous n'avez pas donné le bon remède. Eh oui, certain remède antidote
d'autre. Vous allez peut être passer à côté du remède de votre malade (le
simillimum). Nous constatons régulièrement qu'un remède administré avec succès
avait déjà été prescrit mélangé avec d'autres remèdes mais sans succès.
=> L'expérience montre qu'une seconde prescription trop rapide (parfois les patients
sont impatient) peut vous faire abandonner le bon remède.
=> Les résultats les plus spectaculaires sont obtenus par des homéopathes unicistes.
Peut être avez-vous d'autres arguments?
Jean-Christophe